Gros plan sur: Arielle Boueix

Publié le 6 mai 2013 par

Fiche d’identité.

Nom et Prénom : Boueix Arielle

Date de naissance : 19 juillet 1985

 

 

Club : Comment en es-tu venu à la pratique du handball ?

Arielle: J’ai arrêté la natation après 7 ans de pratique, je faisais un peu de hand au collège et je me suis aperçue que je ne m’en sortais pas trop mal, donc j’ai pris une licence de hand. Et puis le hand est une institution dans la famille !

 

Club : Comment es-tu arrivé au club de Cadillac ?

Arielle: Toute la famille jouait à Cadillac, pourquoi aller ailleurs ?

 

Club : Qu’est-ce qu’il te plait dans le handball ?

Arielle: Le fait que ça soit un sport complet : tu attaques autant que tu défends. C’est aussi un vrai sport collectif qui se rapproche assez du rugby : le contact, la vitesse, l’entraide avec tes partenaires en défense, la technique.

 

Club : Qu’est-ce  que tu n’aimes pas dans le handball ?

Arielle: Les arbitres qui se prennent parfois pour des commissaires de police parce qu’on leur a mis un sifflet entre les mains, le public de certaines salles qui apparemment ignore les définitions des mots « respect » et « fair-play » et enfin certains adversaires, en particulier à notre petit niveau, qui sortent la boîte à gifles parce qu’ils sont dépassés techniquement. Mais je vous rassure : j’adore le hand !!

 

Club : Combien de temps penses-tu encore pratiquer le handball ?

Arielle: J’ai été opérée des 2 genoux à cause du hand au cours des 6 dernières années (rupture des ligaments croisés antérieurs à chaque fois), donc je jouerai tant qu’ils le voudront bien. Je sais que je ne m’arrêterai pas par manque d’envie, mais parce que mon corps ne pourra plus fournir les efforts demandés.

 

Club : Le joueur ou sportif qui te fait rêver ou qui t’as marqué ?

Arielle: Sans hésitation : Véronique Pecqueux-Rolland. En dehors du fait que je joue  sur le même poste qu’elle (la comparaison s’arrêtera là d’ailleurs), j’adorais sa hargne, sa combativité, sa défense haute et dissuasive qui lui permettait de récupérer de nombreux ballons en défense, et enfin son réalisme et sa technique dans la relation tireur/gardien. Une grande dame du handball pour moi, et la reine du chabala, qui reste mon geste technique préféré.

 

Club : Quel est ton palmarès ?

Arielle: Je crois que j’ai commencé le hand vers 13-14 ans. J’ai très vite joué en équipe sénior puisque le club n’avait pas d’équipe -18 filles à l’époque. Nous avons gagné un titre de championnes départementales en Honneur. L’année suivante j’ai eu ma première blessure au genou. Deux ans après je suis partie jouer au BEC handball pour 3 saisons en pré-régional. J’ai pu apprendre de nouvelles choses et profiter de l’expérience de certaines joueuses puisque je m’entraînais avec l’équipe de pré-national. Je suis revenue à Cadillac pour des raisons professionnelles l’année dernière, et à nouveau une grave blessure au genou en début de saison. Désormais, avec 2 genoux tout neufs, je peux profiter et m’amuser avec mes potes sur le terrain.

 

Club : As-tu un dernier mot que tu souhaiterais faire partager à nos lecteurs ?

Arielle: Petit message aux séniors filles : malgré tout ce que vous avez pu lire plus haut : Cotorep n’est pas encore totalement pourrie !